La première phase, qui consistait à mettre en place des registres locaux, s'est terminée au 31 décembre 2012. Les 50 établissements de santé visés par le registre ont transmis à la Régie de l'assurance malade du Québec les informations concernant tous les nouveaux cas de cancer depuis le premier janvier 2011.
La deuxième phase est donc en cours et vise à alimenter le registre central avec des données précises sur le stade et les premiers traitements donnés pour quatre des principaux cancers : sein, poumon, colon et prostate.
Aux 50 établissements ayant un laboratoire de pathologie s'ajouteront 18 établissements offrant des traitements oncologiques. L'ensemble des registres locaux devra fournir une multitude d'informations sur chaque cancer, car le registre central doit colliger jusqu'à 150 informations différentes, du diagnostic en passant par son évolution et les traitements... Il faudra former et embaucher au moins 150 registraires pour assurer que la phase 2 puisse être viable.Lire l'article