La voix des ARCHIVISTES MÉDICAUX DU QUÉBEC
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NOUVELLES
lundi, 30 Mai 2016 10:09:42

Un rôle accru pour les archivistes médicaux


Publié le 27 mai 2016 à 16h55 | Mis à jour le 27 mai 2016 à 16h55

L'Association des gestionnaires de l'information de la santé du Québec (AGISQ) voit pour les archivistes médicaux un rôle professionnel accru.

Le gouvernement du Québec s'est résolument engagé dans la voie du financement axé sur le patient, dans le but de répondre à l'iniquité et à l'inefficience qui résultent trop souvent du mode actuel d'allocation des ressources financières dans le réseau de la santé et des services sociaux. Dans ce contexte, l'Association des gestionnaires de l'information de la santé du Québec (AGISQ) voit pour les archivistes médicaux un rôle professionnel accru, afin de concrétiser les orientations gouvernementales dans les milieux de soins et de services. À notre avis, la reconnaissance du rôle important des archivistes médicaux est même une condition du succès de ce troisième pan des transformations en santé opérées par le gouvernement.

Les archivistes médicaux sont des techniciens spécialisés en information clinique. Ils détiennent des notions importantes en médecine clinique, en biologie, en pharmacologie, en épidémiologie et en statistiques. En clinique ou en institution, nous le savons, un médecin doit connaître plusieurs informations afin de nous soigner. Outre la condition du patient qui est devant lui, il récupère les renseignements pertinents en se référant à son dossier médical et à son historique de santé, tous deux gérés par les archivistes médicaux. Par ses notions juridiques, l'archiviste médical veille également à la confidentialité et à la sécurité de l'information contenue dans votre dossier médical.

De par leur rôle, les archivistes médicaux sont également les intervenants qui alimentent les bases de données du réseau par la codification des diagnostics et des traitements. Ces informations sont ni plus ni moins que le socle sur lequel le financement axé sur le patient reposera. Comment déterminer le financement adéquat si l'information sur les soins et services n'est pas disponible? Tout comme la santé des patients, il faudra s'assurer de la santé de l'information détenue par le gouvernement, afin de pouvoir enfin faire le lien entre l'état de santé de la population et les dépenses de 32 milliards de dollars faites en santé annuellement.

L'AGISQ est la voix des archivistes médicaux du Québec. Ses membres sont tout aussi résolument engagés que le gouvernement dans les réformes en cours. Leur expertise comprend l'aptitude à fournir une information clinique juste aux professionnels soignants ainsi qu'une information financière opportune aux gestionnaires. Ils sont donc des alliés naturels et essentiels pour compléter ces réformes, à condition de leur en donner les moyens, notamment par la reconnaissance de leur rôle professionnel important au sein du réseau québécois de la santé et des services sociaux.

Alexandre Allard, président de l'Association des gestionnaires de l'information de la santé du Québec 


jeudi, 26 Mai 2016 13:58:27

Financement axé sur le patient


Les archivistes médicaux doivent être formés 

Affiché le jeudi 19 mai 2016 (LCP InfoMidi)

L’Association des gestionnaires de l’information de la santé demande au gouvernement d’imposer une mise à jour obligatoire de la formation des archivistes médicaux du Québec afin de compléter le virage vers le financement axé sur le patient. «Le manque de formation et de perfectionnement professionnel d’une portion importante des archivistes médicaux du Québec menace carrément de faire dérailler le projet de financement axé sur le patient», estime Alexandre Allard, président de l’AGISQ. Le nouveau modèle nécessite une information juste concernant la nature et la quantité des services et des soins, et cela doit être archivé efficacement. Sans formation, croit-il, «le gouvernement sera tout simplement dans le noir».


jeudi, 26 Mai 2016 13:35:18

La formation des archivistes médicaux menace le financement axé sur le patient

COMMUNIQUÉ
Pour diffusion immédiate


Québec, le 19 mai 2016 – À l’occasion de ses journées provinciales de perfectionnement qui se tiennent aujourd’hui et demain à Québec, l’AGISQ demande au gouvernement québécois d’imposer une mise à jour obligatoire de la formation de tous les archivistes médicaux du Québec afin de compléter le virage vers le financement axé sur le patient.
« Le manque de formation et de perfectionnement professionnel d’une portion importante des archivistes médicaux du Québec menace carrément de faire dérailler le projet de financement axé sur le patient mis de l’avant par le gouvernement. En effet, ce projet est basé sur l’idée d’une information juste concernant la nature et la quantité des services et des soins prodigués à la population du Québec. Sans une mise à jour professionnelle obligatoire, le gouvernement sera tout simplement dans le noir », déclare M. Alexandre Allard, président de l’AGISQ.
De par leur rôle, les archivistes médicaux sont les intervenants qui alimentent les bases de données du réseau par la codification des diagnostics et des traitements. Ces informations sont ni plus ni moins que le socle sur lequel le financement axé sur le patient reposera.
« Comment déterminer le financement adéquat si l’information sur les soins et services n’est pas disponible? Tout comme la santé des patients, il faut s’assurer de la santé de l’information détenue par le gouvernement, afin de pouvoir enfin faire le lien entre l’état de santé de la population et les dépenses de 32 milliards de dollars faites en santé annuellement », conclut le président de l’AGISQ.
L’Association des gestionnaires de l’information de la santé du Québec (AGISQ) est la voix des archivistes médicaux. Elle regroupe 525 des quelque 1 500 archivistes médicaux du Québec. Les archivistes médicaux sont des techniciens spécialisés en information clinique qui détiennent des notions importantes en médecine, en biologie, en pharmacologie, en épidémiologie, en statistiques et sur le plan juridique...PDF

Source : AGISQ
Renseignements : Sébastien Verret, 581 996-1346, medias@lorangebleue.biz


mardi, 24 Mai 2016 10:33:13

La fiabilité des données en santé mise en doute

Les archives médicales servent de base pour établir des statistiques.

La réforme du financement du réseau de la santé prévue par le ministre Gaétan Barrette sera compromise si les archivistes médicaux ne suivent pas des cours obligatoires pour mettre à jour leur formation, affirme l’Association des gestionnaires de l’information de la santé du Québec (AGISQ).

Les archivistes médicaux colligent et codifient tous les problèmes de santé vécus par les patients et les soins reçus dans chaque hôpital, CLSC et CHSLD de la province. Ces données servent à gérer quotidiennement les établissements et à établir des statistiques. Le problème, c’est que de nombreux changements techniques et normatifs ont eu lieu dans les dernières années, au sujet desquels les archivistes ne sont pas tenus d’être formés.

«On ne peut pas garantir la qualité des données qui sont colligées actuellement», a avancé lundi Lise Chagnon, directrice générale de l’AGISQ, qui représente 525 des 1500 archivistes médicaux du Québec.

Or, c’est justement sur ces données que le ministre souhaite désormais baser le financement des établissements de santé. Mme Chagnon croit donc qu’il y a des risques de sous-estimer ou surestimer leurs besoins. «On peut se retrouver avec des établissements qui ne seront pas financés à la hauteur de ce qu’ils devraient être», a-t-elle souligné.

L’AGISQ entend demander au ministre d’obliger les archivistes à suivre des formations de mise à jour, dont plusieurs sont déjà disponibles offertes par l’association. L’attachée de presse du ministre a indiqué à Métro que ce dernier était ouvert à rencontrer l’AGISQ à ce sujet.


vendredi, 29 Avril 2016 10:22:10

Primeur! .......... La voix des ARCHIVISTES MÉDICAUX DU QUÉBEC


Sherbrooke, le 29 avril 2016 - C’est avec une grande fierté que nous vous dévoilons aujourd’hui ce nouveau logo.
Les membres du conseil d’administration ont décidé de créer cette nouvelle appellation à la suite d’un repositionnement stratégique. Vous, nos membres, ainsi que le public nous ont parlé. Nous avons écouté. Nous avons pris conscience de l’importance de notre identification comme carte de visite.
Par ce changement, nous positionnons les archivistes médicaux à travers nos relations avec les médias, autant auprès de vous qu’auprès des pouvoirs publics, ainsi que dans les priorités gouvernementales voir le communiqué...


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